David Joy : Là où les lumières se perdent

Black novel :

Là où les lumières se perdent de David Joy

Editeur : Sonatine Traduction : Fabrice Pointeau On pourrait être tenté de comparer Le verger de marbre d'Alex Taylor avec Là où les lumières se perdent de David Joy, surtout si on survole la quatrième de couverture. Certes, ce sont deux romans à classer dans la case " roman rural américain ".

http://blacknovel1.wordpress.com

 Tete de lecture :  

Là où les lumières se perdent de David Joy

Bien sûr, le premier roman de David Joy est un roman noir. Mais à lire Là où les lumières se perdent, c'est à la tragédie qu'on pense, au sens le plus classique du terme : un même lieu (un bourg perdu de Caroline du Nord), un court laps de temps et surtout une poignée de personnages dominés par un destin implacable.

http://yspaddaden.com